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La région de Chania et l'ouest de la Crète

Chacun possède en Crète son coin de prédilection, et beaucoup pensent que la région de Chania est la plus belle de toute l’île.
L’ouest de la Crète est splendide en effet : la ville de Chania elle-même, 
les Montagnes Blanches, les villages crétois de montagne, la côte sud sauvage, les plages magnifiques…

Un conseil : inutile de trop vous éparpiller en Crète. Pour un premier voyage par exemple, vous pouvez vous concentrez votre séjour sur la région de Chania et cette région ouest, 1 à 2 semaines étant un minimum. Vous reviendrez pour découvrir les autres régions crétoises en temps voulu, ou deviendrez, comme beaucoup, un accroc de la région ouest de la Crète.

Table des matières

La côte nord autour de Chania

D’abord un point de prononciation : le “ch” de Chania (ou Xania, Χανιά en grec) se prononce
comme en allemand, et non comme en français. La Canée est la version francisée de
Chania, souvent présente dans les guides ou sur les sites de vente de billets d’avion.

Chania, la plus belle ville de Grèce ?

Plus belle ville de Grèce, c’est en tout cas sa réputation. Contrairement à Heraklion, Chania n’a pas trop subi les destructions des bombardements allemands, ni la reconstruction. Résultat : le coeur historique a conservé tout son charme, si l’on fait abstraction des boutiques à touristes.
Autour du vieux port animé [vue 360°], des ruelles sinueuses, étroites, labyrinthiques, des placettes, des couleurs ocres et rouges aux murs [vue 360°], des bougainvilliers, des tavernes, et d’innombrables terrasses de café… à découvrir si possible en décalage de la haute saison, ou la nuit, pour davantage d’effet. 

Le patrimoine de Chania témoigne des diverses périodes historiques de la Crète :

  • Le musée archéologique avec ses trouvailles minoennes et antiques
  • L’enceinte byzantine de Kastelli
  • Les remparts et les neoria (chantiers navals) vénitiens [vue 360°]
  • La mosquée des Janissaires sur le port ou le clocher-minaret de l’église Agios Nikolaos rappelant les Ottomans [vue 360°]
  • La basilique orthodoxe de Mitropoli et le marché couvert érigés pour l’indépendance de la Crète au tournant du XXe siècle [vue 360°] ou vous trouverez tous les cadeaux typiques et gourmands à ramener de votre voyage.

Autour de Chania : Akrotiri et Apokoronas

La presqu’île d’Akrotiri est directement accessible depuis Chania : ici se trouvent
notamment l’aéroport de Chania (accessible en direct depuis la France), ainsi qu’une grande base militaire américaine donnant sur la Baie de Souda. Souda, le port de Chania, accueille les ferries en provenance quotidienne d’Athènes.

Jusque là, rien de bien engageant. Pourtant, Akrotiri est parfaite pour des excursions à la
journée depuis Chania. Prenons par exemple Seitan Limani (le port du Diable), calanque rocheuse aux eaux limpides [vue 360°], le monastère de Gouverneto, avec son sentier perdu en montagne, ou encore le village de Stavros, ou une partie du film Zorba le Grec a été tournée avec sa côte découpée et ses belles plages idéales pour les enfants [vue 360°]

Apokoronas est une jolie région organisée autour de Vamos, campagnarde, verdoyante,
couverte d’oliviers, franchement crétoise.
Plusieurs jolis villages sont à découvrir, Vamos donc, mais aussi Douliana, Kokkino Chorio, Stylos, Armeni… A chaque fois, la meilleure taverne fait office de principale attraction du village, pour une cuisine crétoise franche et authentique : de quoi y passer la journée sous les platanes.
Côté mer, faites un saut dans l’eau dans la crique de Omprogialos : l’une des plus beaux spots du coin [vue 360°]

De Chania à Kolymbari : le cauchemar climatisé ?

Cauchemar, c’est peut-être un peu poussé, mais tout dépend de quel moment de la saison vous traversez cette longue région côtière reliant Chania à Kolymbari. Agia Marina, Platanias, Gerani, Maleme… toutes ces stations à touche-touche sont reliées par une seule et immense plage de sable, ensevelie sous le poids du tourisme de masse. Hôtels pseudo luxe, tavernes simili crétoises, supermarchés et car rentals, les clims tournent partout à fond pour aider les touristes à supporter la météo.
Faisons court : une région à éviter, tout simplement.

La côte ouest de la Crète

La silhouette de la région de Chania est reconnaissable à ses deux pointes orientées vers le nord : Rhodopos et Gramvoussa.

Rhodopos, Gramvoussa et la baie de Kissamos

Après les stations bondées des abords de Chania, Rhodopos est une bouffée d’air frais, non artificiel. La pointe est sauvage, avec deux-trois villages dans leur jus, et quelques jolis spots côté baie de Kissamos. Pour pousser plus loin, attention, les routes deviennent vite des pistes de bergers. Dans ce bout du monde [vue 360°], on trouve des chèvres et du thym, de vieilles maisons de pierre en ruine et même quelques vestiges antiques !

La péninsule de Gramvoussa est bien plus fréquentée, en raison de l’emblématique et très instagrammée plage de Balos [vue 360°] Le lieu est incroyable en avril-mai, en octobre, ou en hiver, laissé à sa nature sauvage. En pleine saison, les bateaux d’excursion se relaient depuis Kissamos (vous pouvez réserver votre excursion ici) avec escale par la forteresse de Gramvoussa [vue 360°], déversant leur flot de visiteurs et leurs déchets plastiques. Vous êtes prévenu !
Si vous avez une voiture et pour la plage de Balos, venez tôt le matin ou restez tard le soir pour éviter l’affluence.

Entre les deux pointes, la baie de Kissamos est magnifique et photogénique, mais Kissamos (anciennement Kastelli), station balnéaire sans charme, est à éviter au-delà d’une courte halte.

La côte ouest de la Crète jusqu’à Elafonissi

Ensuite, la côte ouest est assez particulière : on passe en un rien de temps d’un spot très touristique à un village côtier semblant à l’abandon, sans prévenir. Falassarna, immense plage de sable précédée d’impressionnantes oliveraies, est à voir [vue 360°] : plein ouest, elle est parfaitement orientée pour le coucher de soleil. 

Le long de la côte, les villages n’attirent pas grand monde, mais ne sous-estimez pas une pause dans une bonne petite taverne de bord de mer en cours de route [vue 360° de la plage à Sfinari]. Il y a sur cette côte comme une ambiance de bout du monde. La côte est découpée, les routes sont sinueuses mais cela peut réserver de belle découverte (et un peu d’aventures) à ceux qui oseront se perdre un ou deux jours.
Sur la route vers le sud, prenez par exemple le temps de découvrir le Monastère de 
Chrysoskalitissa assis sur une jolie côte découpée [vue 360°] et célèbre pour la légende de la marche en Or. La légende raconte que l’une des 98  marches est en or mais que seuls les cœurs purs peuvent la voir…

Enfin tout au sud, on atteint un autre des sites carte postale de Crète : Elafonissi.

Elafonissi est un lieu à part, sans aucun doute. La petite île est reliée à la côte par des bandes de sable à fleur d’eau, tel un lagon [vue 360°]. On raconte que la couleur rose du sable date du massacre de villageois crétois, réfugiés ici, par des soldats turcs, il y a longtemps… une dimension dramatique qui n’enlève rien à la beauté du site (la couleur rosé du sable tient en fait aux fragments de coquillage qui le compose).

A retenir tout de même: Elafonissi est aussi en tête de gondole de toutes les agences d’excursion de Crète : il y a du monde, beaucoup de monde, en saison qui vient bouleverser la tranquillité de ce site classé Natura 2000). 
Alors un conseil, échappez-vous des transats et paillotes pour le bout de l’île d’Elafonissi et ses petites plages en échancrures, ou prenez le sentier E4 qui mène, un poil plus à l’ouest, jusqu’à la plage de Kedrodasos [vue 360°]: ce nom signifie forêt de cèdres, mais vous traversez en réalité une forêt de genévriers anciens et protégés, avant d’atteindre la plage, sauvage et magique. 
Et ici comme pour les lieux les plus touristiques, venez tôt ou restez jusqu’au coucher du soleil quand la nature révèle toute sa beauté (et les les cars de touristes sont repartis vers la Canée).

Les Montagnes Blanches, le coeur de l’ouest de la Crète

Toute la Crète est une île montagneuse, et le massif qui occupe l’ouest se nomme Lefka Ori, ou Montagnes Blanches. Véritable barrière entre les plaines côtières du nord et le sud, c’est un monde à part entière.

En route pour les Montagnes Blanches : Omalos

Massif difficile d’accès, peu de routes permettent d’entrer dans les Montagnes Blanches.

La principale relie Chania au plateau d’Omalos par un bel itinéraire qui serpente à flanc de montagne. Les villages sont de plus en plus frustes, les oliviers, les chênes et les châtaigniers qui verdissent les gorges disparaissent progressivement au profit des cyprès, et d’une végétation rase : le changement de décor est saisissant !

Le plateau d’Omalos est également un lieu à part. A 1000m d’altitude, cet ancien lac de l’ère glaciaire contient une terre fertile : il est entièrement consacré à l’élevage des chèvres et des moutons, ainsi qu’à l’agriculture maraîchère. Quelques maisons en pierre sont disséminées ici et là [vue 360°], mais pas de village à proprement parler, ni commerce. Il y a pourtant plusieurs hôtels : que venir faire ici ?

Les gorges de Samaria et les sommets

Omalos est le point de passage obligé vers LE site le plus connu de Crète : les gorges de Samaria. Classées parc national, ces gorges offrent un spectacle exceptionnel [vue 360°] et sont ouvertes au public d’avril à octobre. Ledit public ne s’en prive pas : des centaines de marcheurs descendent les gorges chaque jour.

Ailleurs dans les Montagnes Blanches, c’est le calme plat, même si l’expression est mal choisie. Les reliefs montent haut dans ce massif difficile d’accès : 2453m au Pachnes, 2e sommet de Crète après le Psiloritis (2456m !), mais encore le Gigilos (2001m), comptent parmi les sommets pas trop difficiles à gravir à pied.

Car les Montagnes Blanches, qui abritent principalement des chèvres, des bergers, et des krikri (les chèvres sauvages crétoises), accueillent aussi une autre espèce haute en couleurs, saisonnière celle-ci : les randonneurs. Les sentiers sont nombreux dans le massif, entre les sommets, ou pour descendre les gorges qui rejoignent la mer au sud, comme Samaria ou  Agia Irini [vue 360°]…

La route de Sfakia par le plateau d’Askyfou

Deux autres routes partent de Chania pour rejoindre le sud, en contournant les Montagnes Blanches : la route de Sougia à l’ouest, qui rejoint aussi Omalos, et la route de Sfakia par le côté est.

Cet itinéraire traverse le gros bourg agricole de Vrisses, traversé par sa rivière, avant de monter vers le plateau d’Askyfou [vue 360°]. A 750m d’altitude, cet ancien lieu de résistance crétoise aux divers envahisseurs de l’île conserve un caractère assez réfractaire. Il y a d’ailleurs un petit musée de la résistance a Askyfou. On entre dans la région de Sfakia (Hora Sfakion), la plus rebelle d’une île déjà connue pour n’en faire qu’à sa tête.

Au niveau du plateau d’Askyfou débute la gorge d’Imbros, populaire et facile avec quelques passages tout de même impressionnants [vue 360°]. Bien plus corsés sont les sentiers qui partent d’ici vers les sommets des Montagnes Blanches, spectaculaires et longtemps enneigés, comme la traversée du massif vers le plateau d’Omalos.

La côte sud, le bijou de l’ouest de la Crète

Pour le dire simplement, cette côte sud-ouest de la Crète comprise entre Sfakia et Elafonissi peut facilement être l’unique cible de votre périple.

Protégée et isolée par les Montagnes Blanches, la côte sud est préservée, authentique et brute. Il faut bien quelques jours pour se mettre au rythme : retenez que le temps, ici, s’écoule de façon immuable, sans écart d’humeur, dans un esprit contagieux de détente.

La région de Sfakia (Hora Sfakion) et Anopoli

Pour dissiper le doute : Hora Sfakion, souvent inscrit sur les cartes, décrit en réalité la petite région dont Sfakia est la capitale historique.

Sfakia est un village à part en Crète et même en Grèce, réputé pour son caractère rebelle et inflexible : la légende veut que ce ce pays n’ait jamais été conquis par quiconque ! Aujourd’hui, le village en soi n’a pas vraiment d’intérêt : inutile d’y réserver une room. Sfakia est un des points de départ en bateau pour la côte sud, qu’aucune route ne relie.

La dernière bande d’asphalte remonte en effet en zig-zag depuis Sfakia vers le plateau d’Anopoli : là-haut, très beau décor entre mer et montagne au pied des Montagnes Blanches, entre terres agricoles et forêts, à explorer jusqu’au hameau abandonné de Agios Ioannis, via le vertigineux pont suspendu des gorges d’Aradena.

De Sfakia à Agia Roumeli sur la côte sud

Après Sfakia, la côte sud est accessible uniquement à pied, en suivant le chemin de randonnée E4, ou en bateau, avec quelques escales pour le ferry, et des taxis-boat. La plage de Glika Nera, ou Sweetwater, est une première étape : au pied d’une falaise abrupte, elle est connue pour ses écoulements d’eau douce résurgents à même le sable.

A 1 heure de marche de là (mais également accessible en bateau), Loutro : un village au fond d’une baie aux faux airs de Cyclades [vue 360°], dont le cadre plaît avec raison à beaucoup de monde. On peut tout aussi lui préférer les hameaux voisins : Phoenix et Lykos, repaires de bergers et d’apiculteurs, regroupent des rooms à louer sympas, assorties de tavernes [vue 360°]. Ensuite, à partir de la plage de Marmara et ses grottes de marbre, éclatantes de blancheur [vue 360°] qui termine les belles gorges d’Aradena, on entre dans un domaine sauvage, où le relief des Montagnes Blanches rencontrent sans transition la mer de Libye. L’eau est d’une clarté incroyable, avec des variantes bleu sombre typique des profondeurs à pic de la côte sud. La terre est rouge, les paysages secs, tondus et odorants. Les chèvres sont chez elles et se régalent de thym et d’origan : c’est la phrygana, la garrigue crétoise.

A l’approche de la vaste baie d’Agios Pavlos [vue 360°], le décor évolue, et le vert vif de la forêt de pins tranche de manière saisissante avec la mer. Une cantine où boire des litres de raki, une chapelle du Xe siècle, c’est tout ce que vous trouverez sur cette plage perdue, appréciée des campeurs en quête d’isolement.

Le prochain village en vue, minuscule sous les hauteurs qui l’entourent, est Agia Roumeli : c’est ici que débouchent les gorges de Samaria. Les badauds rougis par l’effort sont présents jusqu’au départ du bateau retour, après quoi la quiétude reprend son cours sur ce village à l’ambiance singulière…

De Paleochora à Agia Roumeli sur la côte sud

Retour à Chania, pour attaquer la côte sud dans l’autre sens, en prenant la route de Paleochora. Cette petite ville volontaire [vue 360°] partagée entre les serres de tomates et les touristes allemands post baba cool vit toute l’année, dans une atmosphère agréable. A voir, le village d’Anydri et les gorges du même nom, et la plage de Gialiskari [vue 360°], passage du sentier E4 de la côte sud.

Paleochora est également le port pour se rendre jusque l’ile de Gavdos, l‘île grecque la plus au sud de l’Europe. C’est aussi un autre point de départ pour prendre le bateau jusqu’à Agia Roumeli, via Sougia (également reliée par la route). Cette toute petite station et sa longue plage rassemblent tous les ans son lot de hippies des plages et d’Allemands naturistes : le port du maillot est en effet très optionnel. L’ambiance est à la décontraction la plus extrême, et à la paresse : plage et bain de soleil en journée, taverne et karafaki le soir.
On trouve tout de même la motivation de marcher jusqu’à Lissos, superbe site archéologique en plein air et en bord de mer !

La portion de côte reliant Sougia à Agia Roumeli est pour nous peut être la plus belle de toute la Crète. En bateau, le point de vue est magnifique sur le massif des Montagnes Blanches, surtout lorsque le Pachnes est encore sous la neige. Par le difficile sentier, on atteint les plages totalement préservées de Tripiti et de Domata (possibilité de retour en taxi-boat pour découper en tronçon). Impossible de les départager en termes de beauté naturelle.

  • Plages et activités sportives - 8/10
    8/10
  • Patrimoine historique et culturel - 9/10
    9/10
  • Villages et arrière pays - 9/10
    9/10
  • Authenticité - 6.5/10
    6.5/10
8.1/10
Sending
Avis des voyageurs
7.15/10 (78 votes)
  • Point culminant de la région: Mont Pachnes (2453m)
  • Environ 90 000 habitants à Chania
  • Un port : Souda (7km du centre)
  • Un aéroport international (CHQ) à 13km du centre

La carte de la région de Chania

Se déplacer dans l’ouest de la Crète

Vous l’avez compris, c’est une région très riche et la meilleure façon de la découvrir est de partir pour un circuit. Plusieurs options s’offrent à vous mais la location d’une voiture  n’est pas indispensable alors que réseau de bus bien dense et efficace.

En outre, d’autres ferries occasionnels partent du sud du Péloponnèse vers le port de Kissamos, situé à 40 km de La Canée.

Louer une voiture à Chania

 C’est évidement une bonne solution pour pour rayonner autour de Chania, rejoindre rapidement un site ou une plage, et être indépendant niveau horaires. Moins pratique sur la côte sud (pas de route !), ni pour les randos linéaires. Mais si vous ne voulez pas marcher et êtes attachés à votre confort (ou si vous avez des enfants en bas âge), c’est évidement la meilleure solution.
Cela peut aussi vous simplifier un peu les choses si vous arrivez par Heraklion et voulez partir sans vous poser de question pour Chania. 
Vous pouvez comparer les prix sur le site de rentalcars.

Les bus KTEL dans la région de Chania

Le bus, c’est un peu plus l’aventure et c’est surtout l’occasion de voyager avec les habitants (il faut voir les yayas, les grands mères grecques, se signer à devant chaque chapelle qui borde la route ou chaque virage dangereux). Le réseau de bus publics de la région de Chania est dense et une ligne transversale relie la côte nord et les grandes villes toutes les heures : Chania – Rethymnon – Heraklion. 
Depuis la gare routière de Chania, des départs plus ou moins réguliers partent vers les villages et les grands sites autour de Chania (Falassarna, Omalos/Samaria), ainsi que le sud de la Crète, Paleochora, Sougia, et Sfakia. Toutes les lignes et les horaires sur le site KTEL Chania.

Les sites à ne pas rater à l’ouest de la Crète

Vous savez que l’on aime pas faire un top 10 des choses à voir mais la région ouest de la Crète est grande et très riche alors s’il fallait faire ressortir les lieux qui nous semblent les plus remarquables nous aurions:

  • La vieille ville de Chania et son port
  • Les plages de Elafonissi et Kedrodassos
  • Les gorges de Samaria
  • Agia Roumeli et la baie d’Agios Pavlos
  • Sougia et ses environs
  • Omalos et les Montagnes Blanches
  • Les gorges d’Aradena et la plage de Marmara
  • La plage de Falassarna
  • La pointe de Gramvoussa et la plage de Balos, hors saison
  • La plage de Seitan Limani
Les ferrys pour Chania depuis le Pirée
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